Championnat Saison 28

C'est le retour du championnat ! Saison 28.

Championnat classique donc où tout le monde rencontre tout le monde.

L'originalité se situe dans la gestion des équipes avec lesquelles on joue : celui qui joue à domicile choisit l'équipe qu'il veut, que ce soit un club ou une équipe nationale. Celui qui joue à l'extérieur choisit l'équipe en conséquence : une équipe de même nature (club si club, équipe nationale si équipe nationale), d'un nombre d'étoiles égal ou inférieur, différente de l'équipe qui joue à domicile.
Il n'est pas possible de jouer plusieurs fois avec la même équipe au cours du championnat donc faites attention !

Lorsqu'une rencontre va avoir lieu, le joueur qui choisit son équipe en informe son adversaire avant d'être connecté au wiimmfi, pour lui laisser le temps de choisir.

Bons matchs !

A priori, les participants sont :
- Tuga
- Robiche
- X Japan
- Dragan
- Papache
- Jean-Marc

Programme des matchs et classement / Fixtures and ranking :

Je viens de changer la règle pour le choix des équipes : on ne peut pas choisir plusieurs fois la même équipe au cours du championnat, donc faites attention ! Il y a donc éventuellement une stratégie à avoir sur le choix d'une équipe en fonction de son adversaire.

Voici, pour rappel, la liste des équipes du jeu classées par nombre d'étoiles : https://jeux-wii-online.forumgaming.fr/t1249-pes-2013-wii-liste-des-equipes-classees-selon-le-nombre-d-etoiles

Match d'ouverture de cette nouvelle saison de championnat PES sur JWO. Jean-Marc décide de jouer à domicile avec une des meilleures équipes 3,5*, à savoir Lyon. En réponse, X JAPAN choisit une autre équipe 3,5* avec Parme.

Jean-Marc attaque le championnat avec une tactique très offensive en 4-2-4. Son jeu en est modifié : moins de possession de balle d'attente et un petit peu plus de verticalité et de vitesse dans les transmissions. X JAPAN opte pour son classique 4-3-3 avec son 9 très reculé. Et comme ça arrive souvent, X JAPAN ouvre le score très rapidement. Le genre de but précoce qui démoralise direct d'un côté et qui à l'inverse fait prendre confiance de l'autre. Et du coup, les buts s'enchainent rapidement et la messe est dite à la mi-temps. En deuxième mi-temps, Parme relâche un peu la pression mais marque quand même encore 2 buts, dont le dernier sublime.

Bien joué Jean-Marc. Dur pour le moral de commencer un championnat comme ça, je n'ai pas eu beaucoup de pitié. En même temps, les 2 matchs amicaux qu'on a joués juste avant étaient serrés donc je me suis dit qu'il fallait que je joue très sérieux ! Bonne chance pour la suite.

C'est le retour des grandes soirées de championnat JWO !
Pour cette reprise, Robiche à domicile a choisi une grosse écurie avec Liverpool. JM de son côté prend le grand Bayern. La première période est plutôt fermée, les défenses prenant le pas sur les attaques. Les bavarois se montrent toutefois entreprenants, et c'est logiquement qu'ils trouvent l'ouverture en fin de première mi-temps grâce à un tête de Robben (0-1, 38'). Les Reds tentent de réagir immédiatement, mais Suarez trouva le poteau d'une frappe dans la surface. Coach Robiche décide de faire du changement à la pause, Sterling peu en vue est remplacé par Sturridge. Les intentions des anglais sont meilleures en 2ème période, et cela se précise lorsque à la suite d'un centre en retrait et d'une frappe contrée, un cafouillage dans les 6 mètres  provoque l'égalisation sur un CSC (1-1, 56'). Sur cette même dynamique, Liverpool joue court un corner et c'est Henderson qui décocha une frappe magistrale de l'extérieur de la surface pour donner l'avantage à son équipe (2-1, 63'). Les allemands se sont alors faits plus pressants pour tenter de revenir dans la partie mais sans succès. Après avoir tremblé jusqu'au bout, Robiche finit par s'imposer dans ce match serré et lance idéalement cette nouvelle saison.

Coach Papache, attaché aux valeurs sportives (*) qui ne doivent pas être corrompues par les puissances financières, déclare que malgré le revirement des clubs renégats de la superleague, il refusera de les entraîner pendant la saison 28.

Pour les matchs aller, voici son choix d'équipes :

La France contre coach Tuga
Le Chili contre coach Dragan

(Sporting CP 3*) Robiche 1 - 0 Papache (Stade Rennais 3*)

Les portugais se font pressants dès le début avec un poteau de Carillo. Nouvelle situation pour Diego Capel en 1ère période, mais qui se heurte à un gardien rennais bien inspiré, encore à la parade en seconde mi-temps sur une reprise de Van Wolfswinkel. Le Stade Rennais a eu plus le ballon (58% de possession) mais s'est peu montré dangereux. Le Sporting de son côté a eu plus de situations (11 tirs) mais s'imposera finalement grâce à un penalty peu évident transformé par Van Wolfswinkel (1-0, 52').

Il y a bien eu quelques occasions de part et d'autre (notamment un magnifique retourné de Giroud sur la première action du match) mais aucune n'a voulu rentrer. Les forces obscures de la papachinade régnaient sur ce match, à la fin duquel la régie video a même pris feu de façon inexpliquée alors que les joueurs s'apprêtaient à entamer la séance de tirs au but. Comme s'il avait fallu faire disparaitre toute image de cette soirée...

robiche a écrit:Le Sporting de son côté a eu plus de situations (11 tirs) mais s'imposera finalement grâce à un penalty peu évident

Victoire méritée... Mais grossière simulation sur le péno ! A quand le VAR dans le championnat JWO ???

Brésil (Dragan) 4 : 1 Uruguay (Robiche)

Tout c'est joué en 1er mi-temps dès le coup d'envoi Hulk surpris reçoit un cadeau du dernier défenseur la passe lui arrivé dans les pieds et il s'en va tromper le gardien des la 1er min. du match. Uruguay n arrive pas à poser son jeu dans cette mi-temps et en prend 2 autres. La 2ieme périodes commence fort pour les Uruguayens qui réduisent le score très rapidement mais le jeu s équilibre rapidement et les Brésiliens marqueront un dernier but en fin de match.
Dommage que l'entame du match fut catastrophique pour les Uruguayens

uninspired night for Bordeaux team, taken advantage of by Celtic team creating several opportunities to score. It was no surprise that Celtic opened the scoring early in the game and expanded the result. In the second half the Bordeaux team reduced the difference, but Celtic increased the result two more times, closing the result of the game in 4 - 1 .

My teams to play at home:

Olympique Lyonnais (3,5*) - Dragan
Man City (5*) - Robiche

Voici mes choix d'équipe pour les matchs allers :
- Qatar (0,5*) pour Tuga
- Heerenveen (1,5*) pour Papache
- Athletic Bilbao (3*) pour Robiche

Porté par sa star Alexis Sanchez laissé beaucoup trop libre sur son aile, le Chili prend assez rapidement l'avantage grâce à -oui vous l'avez deviné- Alexis Sanchez, dont l'accélération dépose ses défenseurs et attire à lui tous les autres défenseurs, venus voir ce qui se passait en laissant tout seul Fernandes au centre, ce qui n'est quand même pas très sympa pour lui. Du coup vexé il envoie violemment le ballon dans les buts (1-0, 14'). Les Bosnois Herzégoviques tentent une réaction, mais la concluent par un tir de poussin... Intéressé par cette technique, Vidal tente de l'appliquer après avoir récupéré un second ballon, mais à sa grande surprise il marque (2-0, 52') ! La fin du match s'emballe, avec des Bosniques Herzégovois qui passent en 0-0-10 (à peu près) pour tenter de renverser la vapeur. Paralysés face une telle audace les Chilois ne peuvent rien ffaire sur la réduction du score qui les met dans le vent (2-1, 82'). Ils passent alors en 10-0-0 (à peu près) pour tenir le score, ce qu'ils parviennent à faire.

Match très tactique dans lequel les défenses ont pris le pas sur les attaques, qui se joue sur la petite faute de déconcentration ou de malchance. Ce sont ces ingrédients qui ont scellé le sort du match juste avant le coup de sifflet de l'arbitre indiquant la mi-temps. Sur un coup franc lointain anodin plein axe, le milieu de terrain de Heerenveen est trouvé d'une passe lobée qui saute le premier rideau défensif des Rémois et d'une passe rapide, l'attaquant Amoah est touché. Ce dernier se défait en force du marquage et décoche un tir soudain plein axe qui surprend le gardien.

En deuxième mi-temps, c'est la malchance qui empêche le Stade de Reims d'égaliser sur un coup franc direct qui atterrit quasiment sur l'arrête. Et c'est aussi avec un brin de réussite que le gardien de Heerenveen arrête une tentative à bout portant (mais aussi en bout de course) d'un attaquant rémois suite à une magnifique ouverture en profondeur venu du côté gauche.

Score final 1-0 pour les joueurs évoluant à domicile.

Bien joué Papache. Gros match défensif de ta part, je n'ai pas eu beaucoup d'opportunités. Je dirais même qu'elles sont toutes dans le résumé vidéo du match ! Tu n'as pas été payé sur tes 2 occasions franches, tu aurais mérité au moins le match nul. Je me sens chanceux de l'avoir gagné celui-là.

X JAPAN a écrit: Sur un coup franc lointain anodin plein axe, le milieu de terrain de Heerenveen est trouvé d'une passe lobée qui saute le premier rideau défensif des Rémois et d'une passe rapide, l'attaquant Amoah est touché. Ce dernier se défait en force du marquage et décoche un tir soudain plein axe qui surprend le gardien.

Contrairement à d'habitude tu n'as pas eu pléthore de grosses occasions (moi encore moins, mais ça c'est comme d'habitude), et le but se joue sur un contre favorable (mais la combinaison était bien vue).

(Man Blue 5*) Tuga 2 - 2 Robiche (FC Barcelona 5*)

Tuga chose Man City and Robiche picked Barça in response. With so many stars on the pitch, the game was a firework of opportunities and goals ! City started the game in the best way, with a quick goal. A free-kick played short, then a cross and a header from Guidetti to launch the match (1-0, 7'). Only 10 minutes later, not the same players, but the same conlusion. A cross from Nasri and a header from Dzeko to widen the gap for a 100% efficient team of City (2-0, 18'). They had control of the ball until this moment, and the Spanish players were overwhelmed with only 20 minutes played and 2 goals conceded. Fortunately for them, they emerged from their sleep and came to make sure that Hart was in good shape. The English keeper was in a good day for sure, as he saved 2 big shots inside the penalty area, first from Sanchez, then Song a few minutes later.

The 2nd half was dominated by Barça, which finally managed to reduce the gap thanks to Messi after a pass by Villa (2-1, 60'). Manchester pressed forward again and thought for a second that they scored again, but this time it was refused for offside. On the other side there were some spaces in attack and the Spanish players tried to exploit them, but once more Joe Hart made the save in front of Villa to win the duel. However Sanchez had followed the action, but could not adjust his shot and found the post. They had more luck on the next try, as Pique launched a good pass for Villa who won the duel against Hart this time (2-2, 70').

The game was open until the very end, but it finished with a draw. City had had the possession (60 to 40%) but the Barça took more shots (10 to 7) in this match that had kept its promises.

A ma gauche les Bataves qui habitent au Nooord, à ma droite les Cccorses ombrageux et susceptibles, qui ont accepté après une longue assemblée générale de se rendre en Batavie pour jouer ce match contre une équipe d'un pays allié à la puissance occupante. Coach Papache n'étant pas Corse, sa présence sur le banc était conditionné au port d'une cagoule (modèle homologué FLNC), ce qui a provoqué une longue discussion avec les officiels de JWO. Finalement l'encadrement de Feyenoord a accepté à condition que des cagoules soient distribuées également à leur banc de touche, dans un souci d'équité (et d'économie de 8 masque chirurgicaux, inutiles sous la cagoule). Après quelques négociations l'AC Ajaccio a accepté de troquer quelques cagoules contre 3 roues de Gouda.

Une fois ce point réglé le match a pu commencer. Les deux équipes étaient mortes de rire chaque fois qu'elles regardaient vers les bancs de touche, ce qui n'aidait pas à la concentration et à la construction du jeu. Ceci expliquant sans doute le score nul et vierge à la mi-temps, malgré une certaine animation dans le jeu. Les discours des coachs à la mi-temps n'ont pas eu beaucoup d'effet car avec les cagoules personne n'a rien compris. Ainsi on se dirigeait vers une papachinade, quand, sur une poussette peu évidente dans la surface, l'arbitre (que le comptable d'Ajaccio avait oublié de payer) a désigné le point de pénalty en faveur des Bataves. Normalement Guillermo Ochoa est spécialiste des pénaltys, mais malheureusement il avait en face de lui le Roi Pelé (*), toujours en forme malgré ses 80 ans, et qui ne tremblait pas pour le convertir (1-0, 76').

Piqués au vif, les Cccorses ont alors tenu une assemblée générale expresse afin de publier une motion réclamant la fin de la néo-oppression batave qui croit pouvoir acheter le monde entier -et peut-être l'arbitre aussi- avec ses fromages pasteurisés. Ainsi galvanisé, Oliech -dont le grand-père était dit-on berger à Cargèse avec celui d'Yvan Colonna avant d'émigrer au Kenya pour cultiver des tulipes, une histoire vraie mais assez compliquée- libérait tout un peuple en remettant les compteurs à zéro (enfin, à un) (1-1, 82').

En violation de toutes les résolutions sur le droit des peuples à ne pas perdre au foot, les nooordistes ont alors joué leur matou pour tenter d'empocher les 3 poings qui leur tendaient les bras, et ont bien failli réussir à la dernière minute, en butant malheureusement sur le gardien à bout portant.

Peu de temps après le départ des Cccorses de la Batavie, le stade de la ville était soufflé par une explosion inexpliquée. Dépourvus d'installations, on ne reverra donc pas les Nooordistes cette saison, ni d'ailleurs les Cccorses, poursuivis par Interpol pour le vol supposé du matou qui était la mascotte du vestiaire depuis 12 ans.

(*) on me dit qu'en fait il s'agissait de Pellé... Au temps pour moi !

Mes choix d'équipes pour les matchs retour :

Contre Jean-Marc : Japon (3*)
Contre X Japan : Mali (1,5*)
Contre Robiche : Suède (4*)

Match très équilibré au début, jusqu'à une erreur de relance du gardien irakien dont profitèrent les Chinois, très réalistes. Les Irakiens répondirent par deux occasions, dont au moins une des deux aurait mérité un but. Mais les Chinois commencèrent alors à se lâcher et après un frisson qui traversa le stade sur une frappe des 25 m qui fracassa la barre transversale pour rebondir juste devant la ligne d'un gardien irakien tout heureux sur le coup, ils prirent l'avantage suite à un débordement côté droit. Un même débordement côté droit faillit conduire à un 3e but mais finalement, le score en resta là.

Bien joué Dragan. Ton erreur de relance te coûte très cher. Bonne chance pour la suite du championnat !

Dernier match de la phase aller pour Robiche, avec un déplacement périlleux chez X Japan et sa série en cours de 3 victoires. Le match démarre tambour battant avec une occasion pour les basques dès les premières minutes qui aurait pu avoir son importance. Bien lancé dans la surface, l'attaque bilbaesque efface le gardien d'une subtile feinte-crochet mais s'excentre trop, permettant le retour des défenseurs en catastrophe pour sauver les meubles. Les turques se montrent ensuite à l'offensive, et sur un centre en retrait Niang trouva la transversale. Il faudra attendre la fin de la première demi-heure pour voir le score se débloquer. Sur un coup franc joué court, Niang est lancé à la limite du hors-jeu. Celui-ci n'a plus qu'à centrer pour le but de Fernandes (0-1, 27'). Les joueurs d'Istanbul sont morts de faim, et remettent ça quelques minutes plus tard. Alors qu'une action se lançait pour Bilbao, un tacle rageur du latéral Hilbert stoppait net l'action au niveau de la ligne médiane, et il enchaîna avec une passe parfaite pour Niang une nouvelle fois parti dans le dos de la défense, qui cette fois-ci termina le travail (0-2, 33').

La réponse de l'Athletic vient alors sur corner, lorsque Llorente à plusieurs reprises devance ses défenseurs pour placer une tête puissante au 1er poteau, passant de peu à côté. Les basques veulent revenir dans le match en 2nde mi-temps mais libèrent des espaces derrière. Besiktas en profite après une nouvelle récupération dans la moitié de terrain adverse, et en 3 passes aussi tranchantes que précises, Niang (encore lui) est trouvé dans la surface et n'a plus qu'à finir le boulot (0-3, 69'). Les espagnols, après avoir poussé pendant cette fin de match (et s'être exposés à quelques nouveaux contres), finirent par réduire le score de fort belle manière. Sur un centre venu de la droite, le nouvel entrant Aduriz place une demi-volée soudaine qui surprend le gardien au ras de son 1er poteau (1-3, 87'). Les turcs eurent une dernière situation chaude dans les arrêts de jeu, lorsqu'une frappe à la limite de la surface fut repoussée par le portier dans les pieds d'un attaquant, qui ne put que trouver le petit filet extérieur. Bien que la possession de ballon ait été équilibrée (51%-49% en faveur de Besiktas), la victoire semble méritée pour ces derniers, qui ont été bien plus précis dans le camp adverse et ont été plus dangereux (13 tirs (6 cadrés) contre 8 (4)).

Robiche, inspiré par le LOSC, freine le Japan Saint Germain dans sa course à un 43ème trophée d'affilée !

Dès l'entame du match l'ASSE prend d'assaut le camp lyonnais et ne le quitte pas pendant un quart d'heure, jusqu'au but que tout le monde sentait venir, avec un Aubameyang encore une fois laissé libre de tout marquage à la réception d'un centre (0-1, 17'). Le reste de la mi-temps est plus équilibré mais le lion n'arrive pas à inquiéter réellement la vertmine. L'ASSE fait rapidement le break en 2ème mi-temps, en exploitant toujours le marquage lâche à la réception des centres, et cette fois avec la complicité du gardien qui a raté une carrière de volleyeur avec une très belle passe arrière dans ses filets (0-2, 55'). Coach Dragan ne tente pas cette fois-ci son classique 0-0-10 pour revenir, ni à marquer le but qui aurait emballé la fin du match.

Largement dominateurs dans le jeu, les Allemands cédent face des Italiens opportunistes. Le Bayern a confisqué le ballon pendant une grande partie du match, en faisant tourner le ballon dans le camp napolitain et cherchant inlassablement la faille dans une défense très serrée. Mais quand ils la trouvaient ils manquaient de réussite (une tête sortie d'une claquette miraculeuse, un tir presque à bout portant mais trop enlevé, jusqu'à un tir contré par un coéquipier alors qu'il filait dans les buts). En face le Napoli peinait à la relance, faisait beaucoup tourner dans son propre camp, et perdait rapidement le ballon quand il en sortait. Malgré tout il était tout prêt d'ouvrir le score en première mi-temps sur sa seule action dangereuse, premier coup de semonce... En deuxième mi-temps le Bayern se procurait moins d'occasions, mais toujours plus que le Napoli qui n'en avait aucune... Jusqu'au dernier d'heure, où Cavani jetait un froid sur le stade vide en s'échappant sur une longue ouverture dans l'axe et en fusillant Neuer (0-1, 77'). Le Bayern pouvait revenir, mais Gomez manquait presque l'immanquable aux 6m au terme d'une action confuse. Et sur le dégagement qui suivait Cavani enfonçait le clou sur un ballon repoussé par Neuer (0-2, 90'+).

Good game, Tuga. As I said right after, you did not deserve the result, and even a draw would have been lucky for me.