[PES13] Championnat Saison 22 : Tableaux/Tables

Analyse de sa performance : l'attaquant du FC Padideh (Iran) a réalisé une performance de haute volée qui lui aura sans doute permis d'être repéré par quelques recruteurs venus assister au match. Avec 3 tirs dont 2 cadrés qui furent mouches ainsi que 80% de passes réussies, il aura été l'homme de l'attaque ouzbèke ce soir.


Après 5 journées sans rien gagner pour la Bulgarie, un résultat semble primordiale pour ne pas continuer la chute libre qui toutefois est amortie par les 3 matchs nuls que comptent le bilan du nouveau coach catalan Garval, qui a notamment réussi a accroché l'excellente Algérie du coach Steph en tête du classement 1,5*. L’Ouzbékistan est sur la pente inverse puisque après la grosse performance face aux Anglais, les Loups Blancs ont empochés leur première victoire dans la douleur face au Canada.
Le début du match et plus globalement les 2/3 de ce match vont confirmer les premières impressions, c'est une rafale d'occasions pour les Ouzbèkes dont le pressing infernal rend la vie dure à la défense bulgare qui en subit les conséquences dès la 9e minute et l'ouverture du score de Nasimov après un bon pressing de Andreev. Les Bulgares ne doivent leur salut qu'à leur gardien et un peu de chance. Le coach Garval a bien essayé de faire des modifications à la mi-temps mais ça n'a rien donné, et peu avant l'heure de jeu, le deuxième but tombe, c'est Nasimov de nouveau qui vient exécuter la sentence et met quasiment fin à tout suspens. Mais il n'en  fallait pas plus pour déclencher le courroux bulgare avec une première frappe à l'entrée de la surface qui finit dans les nuages, la défense veille au grain et c'est sans doute elle qui a permis d'éviter une action dangereuse en bloquant l'angle de frappe. La deuxième occasion sera plus dangereuse puisque l'attaque éclaire des Bulgares, à l'image de ce qu'elle avait été lors du fameux France-Bulgarie en 1993, a failli frapper un grand coup mais le gardien repousse de justesse sur son poteau !
Le match se termine sur ce score de 0-2, le public encourage tout de même son équipe qui aura fait 20 grosses dernières minutes, mais la victoire ouzbèke est méritée, l'équipe qui a montré le plus l'a emportée ce soir !
L'Ouzbékistan prend par ailleurs la tête du championnat avec 1 match de plus sur son dauphin algérien.

Analyse de sa performance : excellent match de l'Ouzbèke qui a formé un duo incroyable avec Ahmedov. Ingrédient de chaque but de son équipe, Geyrnrikh aura été l'élément clé de l'attaque Ouzbèke, tant au niveau de l'organisation du jeu avec taux de passes réussies de 72%, qu'au niveau de ses frappes, toutes cadrées (4). Démontrant une palette de jeu tout à fait remarquable avec un bon jeu de tête ainsi qu'une technique correcte et une bonne vista,  il aura également beaucoup couru au service de son équipe, particulièrement lors des pressing exercés sur les Algériens et sur les contres.


Match au sommet entre les 2 premiers du classement 1,5*, qui ne se tiennent qu'en 1 point à l'avantage de l'Ouzbékistan de coach Jab10. Le match promettait du spectacle avec une météo des plus clémentes, et il n'en a pas manqué !
Le plus gros du match s'est joué en première période. Dès le coup d'envoi, l'Algérie du coach Steph exerce une très grosse pression sur l'Ouzbékistan qui subit le début du match. Néanmoins le bloc ouzbèke est bien organisé et les Algériens peinent à concrétiser leur domination : ils sont punis à la 27e minute sur le premier but d'Ahmedov. Mais juste après, penalty en faveur des Algériens qui peuvent là revenir dans le match, mais le gardien se dresse en dernier rempart l'avantage est préservé !
Il s'agissait là sans doute du tournant du match puisque juste après, survint finalement le deuxième but ouzbèke suite à une attaque éclaire concrétisée par Geynrikh. L'Algérie, comme sur le premier but, subit le pressing ouzbèke, qui les place en position très difficile.
Au retour des vestiaires, les Fennecs tentent le tout pour le tout mais laissent trop d'espace en défense et se voient de nouveau sanctionnés par un troisième but. Ils parviennent tout de même à inscrire un joli but sur le deuxième tir cadré du match qui sauve l'honneur algérien. L'Ouzbékistan pousse jusqu'au bout et s'impose au terme d'un match relativement bien maîtrisé dans lequel elle aura fait preuve de rigueur technique et physique. L'équipe qui aura eu la plus d'occasions s'est imposée, d'autant plus que les Ouzbèkes ont fait preuve d'une grande précisions en cadrant 12 de leurs 13 frappes. L'Algérie se voit elle distancée de 4 points, mais peut tout de même revenir à 1 point en rattrapant son match en retard sur l'Ouzbékistan. Pour l'Algérie, tout n'est pas à jeter puisque le début du match laisse présager mieux pour cette équipe, il faudra oublier cette contre-performance  et repartir sur les bonnes bases qui ont fait son succès jusqu'à présent.

En retard sur son calendrier, le Brésil entame son 3e match de la compétition avec un seulement un but encaissé pour le moment. Il présente un visage plutôt offensif en 4-2-4 et avancera avec son atout numéro 1, Neymar, meneur en numéro 10 pour soutenir le trident offensif brésilien. Les lignes sont très espacées, la tactique sera-t-elle payante ?
La Belgique quant à elle réalise pour l'instant un sans faute : 4 victoires en 4 matchs, dont un match de folie face au Portugal lors de la précédente journée. Elle évoluera dans son habituel 4-2-3-1 et son numéro 10, Hazard.
Avec une pelouse parfaite et un temps irréprochable, le spectacle était promis. L'entame du match ne laisse pas de place à l'observation, tour à tour, les deux équipes attaquent en butant soit sur de bonnes défenses, ou encore sur les gardiens qui font preuve de présence. Mais la malchance est aussi au rendez-vous avec un premier poteau des Brésiliens sur une frappe à ras de sol dans la surface belge, l'avertissement était donné. Quelques minutes plus tard, c'était au tour des Belges de manquer l'ouverture du score. Sur une tentative de hors-jeu ratée par la défense brésilienne, Hazard parti en profondeur butte sur le gardien qui a anticipé la frappe lobée. Les phases de jeux sont intéressantes de part et d'autre et le public retient son souffle, logiquement le premier acte se termine sur un score nul et vierge.
En seconde période, le Brésil tente d'accélérer. Sur une phase offensive un attaquant brésilien dans la surface ameute à lui 3 défenseurs, il passe le justesse le ballon à son coéquipier qui frappe à l'entrée de la surface et grosse parade du gardien belge !  Heureusement, le retour des défenseurs l'ont empêché de s'aventurer plus loin, ce qui a obligé le joueur à tenter sa chance d'un peu plus loin.
A l'approche du dernier quart d'heure de jeu, après avoir fait entrer Daniel Alves (60') le coach Dragan tente le tout pour le tout et donne sa chance à Ronaldinho et Danilo. Le coach Jab10 effectue lui aussi des changements risqués en faisant sortir deux de ses joueurs cadres : Hazard et Mertens; Lukaku et Dembélé sont les deux entrants.
Et ils ne vont pas tarder à donner raison au coach Jab10. Sur une attaque placée belge, la défense brésilienne tente de casser la progression adverse dans son camp. Sur une passe à destination de Dembélé, elle tente un hors-jeu, mais il est mal amorcé, un temps trop en avance.  Dembélé feint le contrôle en laissant passer la balle pour se débarrasser de deux défenseurs. Il parvient à centrer pour Lukaku qui rate son contrôle en poussant trop sa balle ! Le gardien sort pour l'interceptée, mais hésite voyant le retour de Lukaku qui s'arrache et met la balle au fond des filets malgré la sortie du gardien et le retour d'un défenseur, 1-0 et nous jouons la 77e minute ! La libération a un visage en Belgique : celui de Lukaku. Coaching gagnant pour jab10 avec le duo Dembélé-Lukaku. La fin de match est gérer avec l'expérience qui permet à la Belgique de s'imposer au terme d'un match animé et équilibré.
Du côté brésilien, Neymar a déçu ne donnant pas à son attaque le peps attendu. Mais la défense belge était bien présente et a su contrôler les assauts adverses. Côté Belge, les remplaçants ont fait la différence dans un match qui fut sans temps mort. Hazard a lui était plus influent que le brésilien, sans être pour autant décisif.

Quelques heures avant le match, le coach Jordi a rencontré le coach Papache dans ses vestiaires. Le coach du Mali a expliqué avoir prodigué quelques conseils à son ami Jordi afin de réussir un bon match.
A la traîne au classement, l'Allemagne avait à coeur de réussir un exploit face à l'actuel leader belge qui espère la victoire tout en restant prudent, connaissant la grande force de cette équipe.
Alors que l'on chante les hymnes, les joueurs belges semblent pris d'étourdissement, sous le regard moqueur des Allemands.
Pas de round d'observations dans ce match : sur le premier corner du match, Van Buyten effectue un bon déplacement pour échapper à la défense, il coupe au premier premier poteau mais il manque de peu d'ouvrir le score avec une tête qui sort du cadre. La Belgique a la main sur le match et commet relativement peu d'erreurs, mais l'une d'elles n'est pas loin de lui coûter chère. Sur un joli grand pont suivi d'un centre, la défense intercepte le ballon mais, trop laxistes, se le fait chiper aussitôt. Heureusement, Gillet anticipe et sort vite pour contrer la frappe. Le lob aurait peut-être été plus judicieux.
A la mi-temps, les Allemands ont certes la balle (55%) mais c'est une domination stérile se restreignant au milieu de terrain, voire dans leur propre camp par moment, face à une équipe belge plus entreprenantes (5 tirs contre 1) qui a toutefois elle aussi pêchée dans la finition (2 cadrés).
La seconde période reprend la même physionomie, malgré le changement opéré côté allemand pour redynamiser l'équipe avec la sortie de Podolski pour l'entrée de Schürrle. Les Belges prennent d'assaut la cage allemande avec une belle séquence collective. Après être passé au travers de 2 défenseurs d'un magnifique dribble, l'attaquant se manque en dévissant sa frappe, dans une position toutefois difficile à l'entrée de la surface. La Belgique tente mais n'y arrive toujours pas faute à un bon Neuer, il faudrait peut-être appuyé plus les tirs pour pouvoir le vaincre ce soir. Les Allemands eux n'ont toujours pas eu la moindre occasions et buttent sur une équipe belge bien organisé qui lit clairement le jeu adverse. On approche du dernier quart d'heure de jeu. Boateng en défense s'empare de la balle suite à un centre contré, mais sur un errement il se fait prendre la balle des pieds, le centre trouve la tête d'Hazard qui ne décroise pas assez sa tête !
Le coach Jab10, désabusé par le manque d'efficacité offensive de son équipe, décide de tenter le même coup que celui fait contre le Brésil, ce qui lui avait permis de prendre les 3 précieux points. Il lance en même temps Dembélé et Lukaku, qui remplacent cette fois-ci Mirallas et N.Chadli. On joue les derniers instants, 88e minute. Plus de temps pour la tactique, les Belges tentent le classique playmaker par le côté droit de leur attaque. Ils remontent le camp allemand en 2 passes, Lukaku dans la surface prend de vitesse un défenseur au marquage et est à la réception de la passe, il centre pour Dembélé complètement esseulé au deuxième poteau qui frappe de la tête ! Mais Neuer peut cette fois remercier sa barre qui raisonne dans tout le stade.
L'arbitre siffle la fin du match qui se conclut sur ce score de 0-0. Gros coup de la part des Allemands qui sont les premiers à prendre un point à la Belgique. Malgré leur domination totale, les Belges ont manqué de précisions en attaque malgré une créativité offensive bien présente. Ils se sont de plus retrouvés face à un bon Neuer qui a permis à son équipe de continuer à espérer tout le long du match. Les Allemands qui n'auront eu qu'une seule occasion de tout le match s'en sorte assez bien. Ils ont tenté en attaque mais sont tombé face à un bon bloc belge.

Le suspens est préservé dans la vidéo, on ne voit pas le score au début.

Match très important pour le Brésil qui a là l'occasion de s'installer sur la troisième marche du podium. L'Ouzbékistan, toujours en tête de son championnat, n'a rien à perdre dans ce match et pourrait en cas de gros coup prendre le large au classement, en attendant le retour de l'Egypte (Dragan) dans la compétition. Le coach Jab10 a fait appel aux meilleurs sorciers de Poudlard.
Herbe coupée au millimètre, temps idéal, le match peut commencer dans des conditions de jeu optimal. A la surprise générale, l'Ouzbékistan domine le début du match malgré sa composition assez défensive (4-6-0), mais qui en réalité a pour but d'empêcher l'avancée brésilienne au milieu de terrain, tout en étant adapté à un jeu construit et posé et au contre grâce à deux ailiers prêts à être lancés parle numéro 10 ouzbèkes ou encore par l'un des 3 milieux défensifs/relayeurs. Le Brésil lui a opté pour des lignes assez espacées et un apport offensif conséquent, Neymar étant le moteur créatif de l'équipe; en ce début de match il a du mal a trouvé ses repaires, coach Dragan déclarait d'ailleurs au micro avant le début du match : "j ai du mal avec ces brésiliens". La domination brésilienne se concrétise assez rapidement dans le match grâce à un penalty accordé suite à un tacle en retard. L'arbitre a moyennement apprécié les explications farfelues du défenseur qui parle d'illusion provoqué par un stadier avec une baguette. Djeparov, qui a subi la faute, a pris ses responsabilités et fait tremblé le Brésil entier. Le stade ouzbèke Pakhtakor Markaziy est en feu ! Les Ouzbèkes dominent indéniablement ce match et les séquences offensives collectives se multiplient. Juste avant la pause, Djeparov sur un excellent centre de Magdeev aggrave le score de la tête entre les défenseurs brésiliens, le banc explose mais Jab10 demande à ses joueurs de garder leur concentration. A la pause le Brésil, inexistant, n'a eu qu'une occasion franche à croquer qui n'a pas été cadrée. Il a du mal face au bon bloc regroupé des Ouzbèkes qui joue comme un seul homme en attaque et en défense. Ceux-ci ont marqué 2 buts en 2 occasions, c'est une soirée de rêve pour eux.
A la reprise, l'Ouzbékistan continue de pousser et ne se résigne pas à reculer, mais le tournant du match arrive. Sur une grossière erreur défensive de l'arrière droit ouzbèke, qui, alors que pressé, fait une passe lobée axiale pour son défenseur central, un attaquant brésilien intercepte le centre et se jette de la tête mais le ballon est arrêté par le gardien ! Malheureusement pour lui, Pato a suivi et vient réduire la marque profitant du ballon relâché par le gardien, on joue la 48e minute (2-1). La physionomie a changé, les Ouzbèkes font de plus en plus d'erreurs, comme si cette première erreur les avait complètement déstabilisée. Le Brésil prend alors confiance et prend les choses en main, on assiste alors à un schéma miroir de la première période. Logiquement à la 65e minute, Dani Alves profite du gros trou laissé par la défense ouzbèke pour venir battre le gardien en 1 vs 1. Les deux équipes vont pousser, mais aucune des deux ne parviendra à l'emporter malgré les tentatives.
Le Brésil peut tout de même être soulagé, le match était en effet mal embarqué à la pause. Les Auvierde ont été réaliste en seconde période; comme l'ont été les Ouzbèkes en première, qui regretteront eux de ne pas avoir pu conserver le score, réalisant toutefois leur bonne performance. Il en résulte que le partage des points est logique.
Djeparov est quant à lui élu homme du match (6,5/10). Il aura été le carburant de cette équipe, notamment en réussissant 93% de ses nombreuses passes, et en inscrivant un doublé.